La machine énergétique de Joseph Newman : p1-3 Michael Faraday comprenait les lignes de force comme de véritables entités physiques. Il signifiait le mot force comme la source des sources de toutes les actions possibles des particules ou substances de l'univers. Les lignes de force existent et ne sont pas juste un moyen facile de représenter l'action à distance. Mais Faraday ne savait pas expliquer mécaniquement ou prouver l'existence des particules. James Clerk Maxwell pensait qu'il y avait de la matière en mouvement dans un champ magnétique, et qu'il y avait un type de propriété mécanique qui créait les phénomènes électromagnétiques observés. Et c'est parce que Faraday et Maxwell ne pouvaient pas prouver ou expliquer mécaniquement ces particules d'énergie que la communauté scientifique n'a pas saisi leurs idées. Il en résulta le maintien de l'ancienne théorie que Maxwell appelait "la forme d'une qualité inconnue appelée énergie potentielle, ou le pouvoir de produire certains effets à distance". p4-5 En déplaçant un fil conducteur perpendiculairement à un champ magnétique, un courant se crée dans le fil. Si le déplacement est parallèle au champ, aucun courant ne se crée, même si le déplacement est rapide. Si le fil est déplacé très lentement perpendiculairement aux lignes de force, le courant électrique se déplacera à la vitesse de la lumière. Si on retourne le fil conducteur de 180°, le sens du courant électrique reste identique. On a cru que le courant électrique était un résultat du flux d'électron et que rien de venait du champ magnétique. Les lignes de force du champ magnétique consistent en de l'énergie cinétique. On a cru que c'était de l'énergie potentielle car en ne déplaçant pas le fil, aucun courant n'est créé. Le sens du courant dépend du champ magnétique mais est indépendant du conducteur. Le courant électrique résultant consiste en une entité qui voyage déjà à C (puisque indépendant de la vitesse de déplacement du fil); le lent mouvement du conducteur perpendiculairement au champ dévie mécaniquement la particule de son chemin normal. p6 Volant d'inertie - gyroscope. Une particule dont l'axe de rotation se déplace / est déplacé perpendiculairement au / par le champ magnétique verra son axe dévié selon la règle de la main droite. Un conducteur immobile dans un champ magnétique n'est parcouru par aucun courant car les axes des particules gyroscopiques tournent autant dans un sens que dans l'autre. p8 Un champ magnétique consiste en des particules discrètes qui se déplacent à C et qui possèdent des caractéristiques mécaniquement identifiables qui sont identiques à celles possédées par un gyroscope. Si on applique un courant électrique à du fer, du nickel ou du cobalt, le champ magnétique résultant sera beaucoup plus fort que si on applique ce courant à du fer doux. Ainsi, la force du champ magnétique doit être un résultat de la nature des atomes constituant le matériau et pas un résultat de l'énergie électrique fournie. Plus il y a d'atomes alignés, plus la force du champ est importante. Une fois que l'alignement atomique maximum est atteint, une énergie électrique supplémentaire n'augmente plus la force du champ. Si on chauffe un aimant au-delà de sa température de Curie, son champ magnétique disparaît. La chaleur a créé des mouvements atomiques aléatoires et un désalignement : l'énergie est transférée au sein du système de l'aimant, il n'y a pas d'énergie reprise à partir de l'aimant. p9 Conclusions : 1. L'énergie dans un champ magnétique est l'énergie qui compose les constituants des atomes à partir desquels le champ magnétique provient. 2. Cette énergie est littéralement l'équation d'Einstein E= MC2. 3. Cette énergie doit se déplacer à C et aussi avoir un spin gyroscopique à C. Ici se trouve l'essence mécanique de E=MC2. L'énergie cinétique d'une particule est 1/2mv2. Donc 1/2 pour le déplacement + 1/2 pour le spin = mv2. Si v=C, on a E=MC2. Dire que les pôles identiques se repoussent, que les pôles contraires s'attirent, que les charges électriques identiques se repoussent, et que les charges contraires s'attirent est superficiel. Le spin gyroscopique a une action mécanique et explique à la fois les charges magnétiques et électriques. p10-11 La source causant l'alignement atomique dans l'aimant égale l'émergence d'un champ magnétique. La particule gyroscopique M se déplace à C et tournoie à C (spin). C'est le spin gyroscopique qui joue le rôle majeur d'attraction et de répulsion dans les forces magnétiques. Le spin gyroscopique détermine les charges électriques + ou - : les charges statiques attirent ou repoussent en raison du spin. Les charges semblables tournent dans les mêmes directions mais la périphérie externe oppose et repousse; les charges dissemblables tournent dans des directions opposées mais la périphérie externe fusionne et attire. L'apport d'énergie pour fabriquer un aimant permanent n'a absolument rien à voir avec l'énergie à l'intérieur du champ magnétique - effet catalytique seulement. p12 Les effets des champs magnétiques peuvent être observés à travers un blindage de plomb. Preuve de particule fondamentale. p14 Quark, neutrino, méson, électron, proton, neutron sont diverses configurations et agglutinations de la particule gyroscopique. Etant donné que la machine de Mr Newman fonctionne à 100% d'efficacité de conversion et qu'il y a des billions de particules gyroscopiques dans chaque atome, il faudrait des milliers d'années avant de détecter une perte de masse dans l'aimant. La particule gyroscopique, fondamentale, est le facteur unifiant pour les champs nucléaires, électriques, magnétiques, et gravitationnels. NB: plus de 30 personnes ont déclaré sous serment l'exactitude de l'invention de Mr Newman : des ingénieurs électriques, physiciens, inventeurs, scientifiques, notamment : Milton Everett, Roger Hastings, Eike Muller (coordinateur ESA NOAA). p15 Je vais maintenant présenter une explication d'une invention effective qui utilise le champ magnétique à l'intérieur des aimants et produit plus d'énergie que celle qui est introduite dans le système, à partir d'une source d'énergie extérieure. Il ne s'agit pas de mouvement perpétuel. Simplement, le processus technologique dont je vais parler convertit la masse en énergie sur un processus de conversion à 100 % via E=MC2. p16 Contrairement à l'enseignement, le cuivre est hautement magnétique, en relation avec la vitesse d'alignement / désalignement des atomes aussi bien que par rapport à l'effet d'action / réaction de la libération d'énergie (sous la forme des particules gyroscopiques) à partir des atomes comprenant le fil de cuivre. Les mesures montrent la même quantité de courant (par unité de temps) avant et après une bobine de cuivre (or il y a en plus l'énergie du champ magnétique créé). Et donc le champ magnétique n'est pas seulement généré par le courant lui-même, mais par le cuivre. Et donc le cuivre est magnétique. (De plus si on coupe le courant et que la bobine est court-circuitée par une mesure, la même quantité de courant viendra maintenant de la bobine de cuivre). p18 L'entrée de courant agit seulement comme un catalyseur par rapport aux atomes comprenant la bobine de cuivre - atomes qui s'alignent et se désalignent extrêmement rapidement comparé aux atomes des matériaux (magnétiques) conventionnels - relâchant ainsi des portions virtuellement incommensurables des particules gyroscopiques comprenant les atomes de la bobine. Cette libération génère le champ magnétique. Quand l'apport de courant est coupé, la champ magnétique s'effondrant au sein de la bobine résulte en des particules gyroscopiques tentant de retourner vers les atomes dont elles émanaient initialement. De telles actions mécaniques résultent en des particules gyroscopiques heurtant d'autres atomes dans la bobine de cuivre à un certain degré d'un bon angle et se déplaçant à angle droit par rapport à cette force. En raison de l'efficacité de conversion de ce processus via E=MC2, il n'y aura pas de changement observable dans la masse de la bobine de cuivre même après des décennies d'utilisation. Expérience montrant qu'une bobine conductrice produit plus d'énergie que celle qui rentre dans le système. Comparons deux bobines de même diamètre (3.05 m), de même longueur (2.54 m), mais utilisant deux épaisseurs de fil de cuivre différentes : 1) un fil 0.08 (mm) a une résistance de 3.44 ohm/m, donc pour une longueur de 305 m, la résistance vaut 1.049 ohms, et le poids est de 13.5 gr. Il faut aussi 31.8 tours de fil (= nombre de spires = N). Si on applique 100 V, on a un courant de 0.095 A (I=V/R), et une puissance de 9.5 W (P=V*I). Le champ magnétique (μ * N * I / lg) et l'énergie contenue dans ce champ (0.5 * N² * I² * S / lg) sont ainsi faibles. 2) Un fil 4.6 (mm) a une résistance de 0.00103 ohm/m, donc pour une même longueur de 305 m, la résistance vaut 0.3133 ohms. Pour comparer à résistance égale, il faut donc multiplier 305 m par 1049/0.3133 ce qui donne 1.020 km ! La bobine étant de même dimension, il faut ainsi 90.000 tours de fil ! Cela donne aussi un poids de 16.77 tonnes ! En d'autres termes, la quantité d'atomes de cuivre et donc de particules gyroscopiques est phénoménalement plus grande qu'en 1). Si on applique une même tension de 100 V, on a toujours le même courant de 0.095 A (puisque la résistance est la même), et une puissance identique de 9.5 W. Par contre, le champ magnétique (directement proportionnel au nombre de spires) est donc beaucoup plus fort qu'en 1). Et l'énergie emmagasinée dans ce champ (directement proportionnelle au carré du nombre de spires) est phénoménalement plus forte qu'en 1). Si on coupe l'alimentation, la bobine est en court-circuit, un courant additionnel phénoménal surgit du fait de l'effondrement du champ magnétique : une inductance phénoménale (N² * S / lg donc directement proportionnelle au carré du nombre de spires). p20 Les faits et tests ci-dessus indiquent clairement que le champ magnétique consiste en des particules de type gyroscopiques qui sont l'essence mécanique de E=MC² et représente un flux ordonné d'énergie cinétique. L'énergie potentielle, en tant que telle, n'existe pas. Toute énergie est de nature cinétique, puisque les particules gyroscopiques continuent, sous toutes conditions, de bouger et de tourner à la vitesse de la lumière. En 1979 Joseph Newman a déposé un brevet avant de concevoir des prototypes qui ont fonctionné exactement comme il l'avait prévu. Voici un prototype utilisant du fil de cuivre (4.6 mm) isolé pesant 2 T, 135 kg de fil 0.25 mm enroulé autour du 4.6, et un aimant permanent de 300 kg (0.5 m de diamètre pour près de 1.2 m de haut). La bobine a approximativement un diamètre de 1.2 m et une hauteur de 0.9 m, enveloppée sur un tube en fibre de verre. Le poids total est à peu près de 2.3 T. p21 On pourrait croire que le système serait hautement inefficace puisqu'il n'y a pas de noyau de fer, mais les faits ont clairement prouvé que l'unité pourrait fonctionner avec un apport de puissance de moins de 1.5 W. Cela excède largement les 100 % d'efficacité de production, relative à la puissance sortant du système comparé à la puissance externe entrant dans le système, avec exactement 100% d'efficacité de conversion de la masse (particules gyroscopiques) des atomes de cuivre en énergie électrique et rotationnelle. Ce processus n'est pas un mouvement perpétuel. On convertit simplement (sur une base d'efficacité de conversion à 100 %) la masse en énergie via un processus d'efficacité de production de 100 % (ou plus). Ainsi, l'énergie sortant du système totale équivaut à la petite quantité d'énergie électrique entrante (agissant comme un pur catalyseur) plus l'énergie magnétique subsistante au sein du système. Le physicien Roger Hastings est celui qui a réalisé le plus de tests en différentes occasions sur des prototypes opérationnels. Avant de conduire les tests, Dr Hastings pensait avoir à faire à un inventeur cinglé mais son scepticisme était tempéré par une véritable curiosité. Sans une telle curiosité, le scepticisme se dégradera rapidement en cynisme. p22 Déclaration de Roger Hastings au Commissaire des brevets et marques : "Chaque expérience que j'ai effectuée montre que l'énergie sortante de l'appareil est de fait plus importante que l'énergie entrante." p24 Analyse de la performance du moteur Newman : expériences réalisées en 1981 et 1982 par Dr Roger Hastings. 1. Energie mécanique sortante. A) Test contre un moteur d.c. à aimants permanents évalué à 80 % d'efficacité. Des piles sont connectées au moteur d.c. qui fait tourner une pompe dont la consommation a été de 19W. Dans les mêmes conditions, le moteur Newman a consommé 2.4 W. Son efficacité est donc de 800 %. Dr Hastings insiste sur le fait que l'efficacité intrinsèque du moteur pourrait être grandement améliorée, car le moteur a des pertes énormes. "Un moteur Newman conçu efficacement aurait certainement une efficacité trois fois supérieure à l'efficacité mentionnée ci-dessus, et peut-être dix fois (8.000 % !)". B) Test du couple statique. Le moteur Newman a tiré un poids 8.7 fois plus important que le moteur d.c. tout en consommant dix fois moins, ce qui lui donne une performance (sous charges statiques) 87 fois supérieure. C) Tests de durée de vie des piles. Lors du test A, le temps au bout duquel le voltage des piles était tombé à 60 % de leur voltage initial (à 2 A) était de sept heures pour le moteur Newman contre six minutes pour le moteur d.c. ! Une efficacité proche de 1.000 % est indiquée par l'expérience. Les vieilles piles étaient usées au point qu'elles ne pouvaient même pas faire fonctionner un moteur de petit jouet de 1 1/2 V. Pourtant lorsqu'elles sont connectées au moteur Newman, le rotor de 41 kg est mis en rotation à 4.5 Hz en à peu près 20 secondes! 2. Energie électrique fournie. Le moteur Newman génère de l'énergie électrique par induction. Les expériences ont indiqué une efficacité d'environ 400 % dans la génération de puissance électrique. Lors des mesures de l'énergie mécanique, l'énergie électrique était générée simultanément, et la somme de l'énergie électrique et mécanique était approximativement le double de l'énergie obtenue quand seule l'énergie électrique était générée. 3. Mesures statiques. Les mesures de couple statique de Mr Newman sont en accord avec les prédictions théoriques basées sur les mesures du moment magnétique de l'aimant. Il a souvent été noté par Mr Newman que, pour une puissance fournie fixe, le couple s'accroît avec le moment de l'aimant. Si l'aimant est rendu infiniment magnétique, le couple devient infini, même si la puissance de la bobine est très faible. 4. Propriétés dynamiques. 5. Puissance de sortie prédite. 6. Efficacité prédite. Les efficacités mesurées pour le moteur Newman excèdent de loin les efficacités prédites. La puissance d'entrée prédite est en accord avec la puissance d'entrée mesurée. La puissance de sortie mesurée excède la puissance de sortie prédite. Par exemple, avec une puissance d'entrée de 1.8 W on s'attendait à 0.43 W en sortie mais dans l'expérience le moteur a généré 5 W, ce qui est bien trop grand pour être expliqué par des erreurs expérimentales. 7. Comportement inhabituel. Comme vu au-dessus, un nombre de propriétés du moteur Newman suit la théorie conventionnelle. En particulier, la puissance d'entrée est telle qu'attendue. La puissance de sortie (en excès de celle d'entrée) est le résultat non conventionnel. A mon sens, la mesure du moteur la plus intéressante est les photos de l'oscillographe prises autour de la bobine montrant de très haut voltages. La photo montre aussi le fait (selon moi stupéfiant) que le courant de la bobine est plus de trois fois supérieur au courant de la batterie quand le voltage est appliqué. Mon opinion est qu'une charge excédentaire est laissée dans la bobine quand le voltage d'entrée est coupé. A ce stade une étincelle apparaît et une énorme force électro-motrice induite est créée dans la bobine. Cette f.e.m. devrait disparaître rapidement (apparaissant comme une pointe). Cependant, le haut voltage subsiste, ayant la période de l'aimant en mouvement. Ceci indique que l'aimant "pousse" (force) une charge excédentaire autour de la bobine, et cela apparaît comme un courant excédentaire quand le contact est ré-établit avec la batterie. Il y a aussi la question du courant "anormal" qui apparaît durant l'étincelle. Il n'est pas clair à partir des photos si ce courant apparaît dans la bobine, mais il a le signe et l'ampleur approprié pour entraîner l'aimant. Dr Roger Hastings, physicien principal, ancien professeur agrégé, université de l'état du Dakota du Nord. http://www.free-energy-info.com/Newman1.pdf
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Un inventeur turc présente son moteur magnétique à l'Université de la Technologie à Delft (Pays-Bas). Il n'y a aucun câble. L'appareil est ouvert pour inspection. La démonstration a également été faite en Allemagne devant 3 professeurs de physique. Pas de batteries. https://www.youtube.com/watch?v=mHW6b1aFPfU
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Aimants et ventilateur pour générer librement de l'électricité : Trouver le point zéro magnétique du ventilateur (à l'arrêt, bloqué entre 2 pas). Puis positionner chaque aimant (classique) sur chaque face du ventilateur de telle sorte qu'il amorce un mouvement dans le sens anti-horaire. Rajouter un 5° ou 6° aimant si ça ne tourne pas assez vite. https://www.youtube.com/watch?v=6sAJzjJ6ujE 12 sept 2016 : utiliser de tout simples aimants sur les 7 pales et 3 coins. Puis un gros sur le 4° coin. Positionnement beaucoup plus facile. https://www.youtube.com/watch?v=NWP1prjxKrg Prendre un ventilateur à 7 pales (dissymétrie). Positionner le 4° aimant au millimètre. Il doit être coupé pour que son champ magnétique soit différent. Il n'y a aucun fil venant de la table. Pour en retirer de l'électricité, retourner un transformateur qui transformera donc le 12 V en 220 V. Comme il y a des pertes, il utilise un transfo 9 V, mais assez puissant (12 VA), et alternatif. https://www.youtube.com/watch?v=k3dvwY0Omj0 Positionner les aimants de taille identique face à face (ici sur les coins), le 3° est un peu plus grand, et le 4° est le même que le 3° mais coupé. On voit clairement qu'il n'y a aucune petite batterie : https://www.youtube.com/watch?v=72Nzq4fNSWM Un aimant de haut parleur coupé en 4 mis sur les 4 côtés (c'est plus proche des rondelles qu'aux coins), plus un petit aimant au néodium (cassé) sur un coin. Certains imaginent que ce serait une soufflerie externe qui ferait tourner le ventilateur, mais si on met une bougie derrière elle reste allumée, et si on la met devant le ventilateur elle s'éteint : https://www.youtube.com/watch?v=IkeKkPmMy0k Certains falsifient l'expérience de départ en mettant une batterie dans l'ampoule, mais le ventilateur tourne même sans être raccordé à l'ampoule.
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Nikola Tesla et l'énergie libre : Tesla utilisa l'éther à des fins industrielles Einstein, 1934 : "L'espace physique et l'éther sont des dénominations différentes pour le même concept; les champs sont les physiques de l'espace". Il dit que l'espace est un medium dynamique et qu'il produit des particules élémentaires. Johannes Alfven, prix Nobel de physique en 1970 affirma en 1982 que l'espace interstellaire est rempli à 99% de plasma. p21 "Au début du 20° siècle, on acceptait encore plusieurs écoles de physique aux USA. La majorité des chercheurs n'avait pas une mentalité matérialiste. Ils étaient prêts à intégrer des phénomènes, tel que le transfert inter-dimensionnel de l'énergie dan les domaines de recherche. Mais dès que des groupes internationaux eurent pris le contrôle politique et financier des institutions scientifiques (ce qui fut facilité par de nouvelles lois fiscales aux Etats-Unis en 1913), des fondations scientifiques virent le jour. Elles ne payaient pas l'impôt. L'objectif était le développement purement matérialiste des sciences liées aux profits, ce qui provoqua l'arrêt de toute recherche dans les domaines non matériels". Lorsque son banquier, John Pierpont Morgan, comprend qu'il travaille sur des productions d'énergie libre, rendant donc tout système de distribution superflu, il lui retire tout soutien financier, la presse se déchaîne contre lui, et il se retrouve submergé de procès. Tesla naît en 1856 Un début de vie astreignant discipliné amènent Tesla à développer sa mémoire photographique et à 17 ans, il a déjà le don de visualiser ses inventions avec une telle acuité qu'il n'a besoin ni de maquettes, ni de schémas, ni même d'expériences. "Tout ce que j'invente fonctionne comme je l'ai imaginé, l'expérience se déroule comme prévue." Nikola recommande cette méthode plutôt que la méthode expérimentale où l'on risque de s'embourber dans les détails et les défauts. Malheureusement, c'est aussi la raison pour laquelle il reste peu de traces écrites de ses travaux. Il avait donc de la difficulté à communiquer avec d'autres ingénieurs, qui avaient besoins de plans. Sa mémoire photographique était telle que ses professeurs le soupçonnait de tricher. p30 Il découvre le principe du champ magnétique rotatif, généré par des courants alternatifs au nombre de deux ou plus, déphasés les uns par rapport aux autres. Personne n'avait réussi jusqu'à ce ce jour à mettre au point un moteur à courant alternatif. Bientôt toute l'électricité sera produite et transmise au moyen du système polyphasé de Tesla. p33 Il est promu ingénieur au Bureau du télégraphe et invente un amplificateur téléphonique qu'il omet de breveter. p35-36 En 1884, Tesla arrive à New York, électrifiée par Edison, mais dont le réseau en courant continu tombe régulièrement en panne et provoque de nombreux incendies. Lors de sa première rencontre pour un emploi, Tesla parle à Edison de son moteur à induction à courant alternatif, et Edison rétorque "Épargnez-moi ce non-sens. C'est dangereux. Nous sommes équipés pour le courant continu en Amérique. Les gens l'apprécient, et je me f... du reste." Le même jour, Tesla monte à bord de l'Oregon, à quai pour cause de problèmes de dynamos. Tesla et l'équipage travaillent toute la nuit et à l'aube, le paquebot est prêt à partir. Impressionné, Edison lui laisse une liberté quasi totale. p37 Tesla découvre comment améliorer les capacités des dynamos, et donc les profits. Edison lui propose 50.000 $ s'il aboutit. Tesla améliore les dynamos mais Edison ne le paye pas, invoquant l'humour américain. Tesla démissionne. Puis, des financiers qui l'avaient remarqué, lui proposent de constituer sa société, la "Tesla Electric Light Compagny". Tesla crée une lampe à arc, plus simple, plus fiable, et plus économique, mais il est licencié de sa propre société. De 1887 à 1891, Tesla déposera 40 brevets. En 1891, George Westinghouse, concurrent d'Edison, lui propose une place de consultant et lui achète ses brevets. Le courant alternatif à 60 Hz est adopté cette même année entre les deux hommes, et restera la norme aux Etats-Unis. Mais Edison entame une campagne de dénigrement contre le courant alternatif et, pour des raisons financière et égotique, estime qu'il ne faut pas hésiter à créer des accidents de toutes pièces. Cela se termina à la Cour de Justice de l'état du Connecticut, en faveur de Tesla et Westinghouse. Edison mettra 20 ans pour reconnaître son erreur, et ses difficultés financières l'obligent à fusionner avec la Thomson-Houston Compagny de Morgan, qui s'appelle actuellement General Electric Compagny. p46 Morgan est proche de son but p53 En 1891 Tesla met au point sa lampe à pastille de carbone, (traversée par des courants de fréquences de plusieurs centaines de milliers de volts), dans laquelle un gaz raréfié devient la source d'une lumière vingt fois plus brillante que l'ampoule à filament d'Edison, pour une même quantité d'énergie consommée. Tesla voit le soleil comme un corps incandescent porteur d'une forte charge électrique qui émet des particules fines. Il prétend avoir mesuré ces rayons. Même s'il a tort quand il dit que les rayons cosmiques sont simplement la cause de la radioactivité du Ra, Th, et U, il est par contre dans le vrai lorsqu'il prédit que le bombardement des rayons cosmiques peuvent rendre d'autres substances radioactives. p61 Au printemps 1893 Tesla fait la première expérience publique de communication radio. Deux ans plus tard, Marconi montre un récepteur TSF identique, et la Haute Cour tranchera en faveur de Tesla. L'électricité et l'éclairage de l'Exposition universelle de Chicago de 1893 utiliseront exclusivement le courant alternatif. La première centrale à courant alternatif est construite en 1896, sur les chutes du Niagara. p83 Présentation du premier navire robot télécommandé par radio pendant la première exposition électrique. p91 A Colorado spring, Tesla fait construire un émetteur amplificateur d'ondes radios à très basse fréquence (effet Tesla), technologie qui sera utilisée par les Russes au plus fort de la guerre froide (météo). Quand son émetteur est en marche, les paratonnerres situés dans un rayon de 30 km sont continuellement reliés par des éclairs. p95 En 1899 Tesla prophétise que la Terre résonne à 6.18 et 30 Hz. Il est très près de la réalité puisqu'elle résonne à 8.14 et 20 Hz. Il perfectionne son émetteur qui est composé d'une bobine géante de laquelle part un mât métallique de 62 mètres surmonté d'une sphère en cuivre de 90 cm. A l'intérieur du bâtiment, une lueur bleue emplit la pièce et des éclairs se tordant jaillissent de la bobine tandis que des étincelles emplissent l'air dans une forte odeur d'ozone. A l'extérieur Tesla voit la foudre s'élever à 40 mètres au-dessus du mât. Le tonnerre est entendu à 15 / 25 km. Après une minute, le générateur de la ville saute, la dynamo étant surchargée. En émettant des ondes (ELF) en résonance avec celles de la Terre, l'énorme oscillateur a en fait créé des ondes stationnaires dans ce système Terre-ionosphère. p103 Le plus haut potentiel qu'il ait atteint est d'environ 12 millions de volts. Il a aussi obtenu dans son antenne 1.100 ampères. En travaillant avec ces courants intenses, il a la surprise de créer un épais brouillard. Grâce à son émetteur amplificateur, il crée un courant suffisamment puissant pour allumer 200 lampes à incandescence de 50 W à 42 kilomètres de sa station, ce dont ont témoignés de nombreux journalistes. Son puissant récepteur radio a aussi perçu des sons rythmés alors inconnus en provenance de l'espace (ce que les astronomes identifieront en 1920 comme des ondes radios en provenance des étoiles). p107 La Tour de Wardenclyffe, financée parcimonieusement par J. Pierpont Morgan, devait pouvoir émettre sur toutes les longueurs d'ondes radio. Mais elle devait aussi pouvoir transmettre de l'énergie sans fils, ce dont Tesla ne parla pas à son créancier qui n'était pas intéressé à ce que des des peuples sans argent puisse en recevoir. En 1901 Marconi transmet la lettre "S" à travers l'Atlantique sans recourir à quoi que ce soit qui ressemble à la grande installation que Tesla est en train de construire. Les problèmes financiers s'accumulent, notamment avec une amende de 23.500 $ en faveur de Westinghouse, pourtant un vieil ami. On fera finalement exploser la tour en 1917. Morgan avait compris. p117 Tesla distinguait clairement la radio de la transmission d'énergie sans fil, ce qui n'était pas le cas de tous. La confusion prendra fin officiellement en 1943 lorsque la Cour Suprême des Etats-Unis établit que Tesla est bien l'auteur de la découverte initiale de la radio. Tesla dira : "Marconi est un brave garçon. Il est bien parti. Il utilise 17 de mes brevets". p126 Tesla présente le concept du radar dans la revue Century de juin 1900, puis il décrit les principales caractéristiques du radar atmosphérique à impulsions dans l'Electrical Experimenter d’août 1917. p128 Vers la fin de sa vie, Tesla croit que toute matière provient d'une substance unique, l'éther luminifère, qui remplit tout l'espace et il est fermement convaincu que les ondes radios se déplacent parfois plus vite que la lumière. p148 Tesla parle d'un faisceau de particules, plus fin qu'un cheveu, que rien ne peut résister, permettant de transmettre à grande distance une énergie des trillions de fois supérieure à celle de tout autre rayonnement. p155 L'éther est photophore. Il véhicule la lumière à travers le vide pour éclairer la Terre. L'éther est l'élément fondamental. Les électrons, protons, et neutrons ne sont que des états ou zones de concentration dans l'éther. L'élasticité de l'éther : en chargeant un corps d'électricité, l'éther se met en tension et essaie donc de revenir à son état antérieur. Après que Paul Dirac, prix Nobel de physique, ait prouvé l'existence de l'éther de façon mathématique, Albert Einstein révise son jugement et affirme que "L'espace dépourvu d'éther est impensable d'après la théorie de la relativité". Le professeur Marco Todeschini a pu prouvé que la Terre transporte le fluide éthérique dans ses révolutions autour du soleil, et qu'elle est le centre d'une sphère éthérique. Il ajoute que la vitesse de la lumière (et de tout corps en mouvement) dépend du système de référence. Einstein dira en 1950 à Schrödinger à propos de la théorie des quanta : "[...] Il est assez cruel de constater que nous en sommes encore au stade des nouveaux-nés et il n'est pas surprenant que les gaillards aient du mal à l'avouer." Fred Hoyle, professeur titulaire de physique à l'université de Cambridge, propose d'introduire la notion de création continuelle de la matière. p163 L'éther se nomme aussi champ d'énergie gravitationnelle, mer de neutrinos, énergie radiante, mer de Fermi, énergie primaire, champ de tachyons, ou encore prana,... p166 Un perpetuum mobile est possible grâce à une source d'énergie invisible, comme le champ G : cela permet de se libérer des lois de la thermodynamique. Voir déclaration de Walter Dornberger, directeur du centre militaire de recherches Peenemünde. p235 En 1893 Nikola Tesla affirme qu'il sera possible de transmettre des signaux contenant des informations, peut-être même de l'énergie. La machine la plus complète et la plus efficace dans ce domaine est l'émetteur d'énergie (sans fils) de Tesla (brevet 1.119.732, 1902), prenant l'apparence d'une tour : une bobine primaire entoure une bobine secondaire reliée (et synchronisée) à une longue bobine tertiaire verticale prolongée en hauteur par un cylindre conducteur se terminant par une large antenne toroïdale métallique. Grâce au système polyphasé (brevet 381.968 moteur polyphasé), Tesla avait introduit le courant alternatif, nécessaire pour transmettre l'énergie en quantités sur de grandes distances sans perdre trop d'énergie. Alors que le courant continu d'Edison est plus adapté pour de petites entités autonomes. p240 Tesla dépose aussi en 1897 le brevet d'un système à haute fréquence pour la transmission d'énergie avec fils (593.138), qui fonctionne avec un seul fil conducteur, sans fil de retour. p241 Déposé en 1900, son système de transmission d'énergie sans fils (645.576) ressemble à celui avec fils, mais des antennes sphériques remplacent les fils de transmission. Bien que fortement centralisé, ce système ne nécessite, pour recevoir l'énergie, qu'une antenne, une prise de terre, et une bobine simple de Tesla connectée entre les deux. Il aurait donc été possible de contourner les compteurs et recevoir l'énergie sans payer, comme cela est possible avec la télévision. p247 Tesla détermina que la fréquence de résonance de la Terre (11,78 et 6.8 Hz) était la fréquence idéale pour la transmission d'énergie sans fil. p251 Tesla prétendait que les transformations que créent la radio, génèrent des ondes longitudinales dans l'éther, comme le son dans l'air ou l'eau, ou comme un caillou dans l'eau. Alors que les ondes lumineuses sont transversales. Tesla pensait que les ondes hertziennes ne pouvaient exister que dans un milieu solide; qu'elles étaient des rayons, et que l'énergie ne pouvait être transmise par un tel agent. Les ondes hertziennes sont droites, ressemblant aux ondes lumineuses et elles sont renvoyées par les montagnes et les obstacles. Les hautes fréquences se comportent de façon hertzienne. p256 Lorsque l'émetteur et le récepteur se trouve sous terre ou dans l'eau, la transmission d'un signal radio est jusqu'à 5.000 fois plus puissante (voir le projet militaire GWEN). p257 Le récepteur d'énergie libre de Tesla, munies de plaques métalliques brillantes recouvertes d'un matériau isolant transparent, fait penser à l'effet photovoltaïque (et non au photoélectrique). Ce n'est pourtant pas qu'un collecteur solaire puisqu'il produit de l'énergie même la nuit. Le titre du brevet (685.957, 1901) mentionne en effet "Le soleil et d'autres sources d'énergie rayonnante, tels que les rayons cosmiques", Tesla parlant de la Terre comme d'un "immense réservoir d'électricité négative". A 76 ans, sans un sou pour déposer le brevet, il annonce un moteur mû par l'énergie cosmique, mille fois plus puissant que le radiomètre de Crook. p262 Son invention la plus connue est la bobine de Tesla, composée d'un circuit primaire et d'un circuit secondaire. D'une part : une bobine primaire de fil épais et peu de bobinage, un oscillateur à éclateur d'étincelles, un condensateur, et un transformateur (ou générateur). D'autre part, à l'intérieur de la bobine primaire se trouve : une longue bobine secondaire de fil beaucoup plus fin (sans noyau de fer), reliée à une antenne et à la terre. Les deux circuits doivent être conçus de telle sorte qu'ils vibrent à une fréquence correspondante. Et puisqu'il n'y a pas de noyau de fer, les vibrations ne sont pas atténuées et deviennent donc libres. En choisissant un bon réglage dans le temps, comme on le ferait en poussant adéquatement une balançoire, les vibrations électriques sont amplifiées. C'est le principe de résonance. Tesla était fasciné par la puissance de ce phénomène. p264 Tesla s'est aussi servis de la résonance pour des expériences mécaniques lorsqu'il provoqua un petit tremblement de terre après avoir fixé un vibrateur à une poutre porteuse de son immeuble. p266 En 1896 il améliore son brevet de 1891 avec la bobine de Tesla bipolaire : des bobines d'impédance permettent d'accumuler et de décharger l'énergie subitement dans le condensateur, ce qui nécessite un niveau d'alimentation restreint. p267 La haute tension à haute fréquence qui sort d'une bobine de Tesla peut être acheminée sur de très grandes distances (pertes dues aux décharges de Corona) car ce type de courant rend conducteurs les matériaux qui ne le sont d'habitude pas, comme les gaz par exemple. En 1901, Tesla dépose le brevet 685.012 sur la supraconductivité. p269 En 8 ans, Tesla aura développé plus de 50 sortes de bobines. Il a reconnu la valeur thérapeutique des vibrations à hautes fréquences. Il a commercialisé plusieurs appareils et certains malades ont pu en ressentir des effets bénéfiques (rhumatisme, goutte, diabète, paralysie). Les thérapeutes parlaient d'émissions de vitamines dans l'organisme. Lakhovsky, inventeur d'un oscillateur thérapeutique, estime qu'on pourra déterminer la nature des microbes au rayonnement qu'ils émettent et, qu'à l'aide de rayonnements, on pourrait faire disparaître ces maladies. p273 A son époque, on appelait éther le champ qui englobait toute activité électrique. Tesla pensait que l'électron n'existait pas. C'est un concept étranger à sa théorie. "[...] L'élasticité de l'éther est visible sur un aimant; elle pousse le milieu à retrouver l'équilibre. Quand l'éther est chargé électriquement, par magnétisme ou par la force de gravitation, il essaie de recomposer l'équilibre + -. [...]". Tesla utilisait le condensateur plus comme amplificateur. p277 En 1909 (+1916) Tesla dépose le brevet d'une turbine fonctionnant à la vapeur, à l'air comprimé, à l'essence, ou à l'huile, et dont la seule pièce mobile était le rotor. Sans pistons, ailes, ou clapets, elle travaille donc sans vibrations, ne coûte pas cher, et a besoin de peu d'entretien. D'un diamètre de 25 cm, elle développe plus de 80 kW à 5.000 tours/minute. Une fois à température, il est possible de couper l'allumage sans en modifier le fonctionnement. Et en invertissant l'entrée et la sortie, la turbine fonctionne comme une pompe. p285 Tesla a aussi inventé toutes sortes de lampes différentes, qui fonctionnaient à de hautes fréquences. Il a réussis à construire des lampes à gaz raréfié qui produisent de la lumière ressemblant à la lumière du jour. Les lampes de Tesla ressemblent à la lumière à spectre intégral, plus saine que les lampes à filament d'Edison. Source : L'énergie libre, éditions Felix, 1997.
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Site fortement négationniste sur Tesla : utilise des mots comme fantasques, surréalistes, ou abreuver pour Tesla, mais rigueur pour Marconi. Annonce difficilement la paternité de Tesla pour la radio, et ce, non pas en début d'article quand on parle des transmissions, mais vers la fin, sous le titre "Nobel, déchéance, et fin de Tesla". La légende voudrait que Tesla ait accroché un oscillateur mécanique (Sacré Tesla! Il a même été jusqu'à inventer l'action de casser l'oscillateur pour que les vibrations cessent !) Signal en provenance de l'espace oui, de mars non. Mais puisque les journalistes eux parlaient de Mars, Tesla leur a lancé ironiquement "allez demander aux Martiens" ! Vous devez tous vous demander : mais qu’en était-il réellement? (Vraiment, on est complètement perdus, on a bien besoin d'être pris par la main) (Allez suivez-moi, c'est par ici) (Utilise un film (le prestige) pour dire que les ampoules se seraient allumées, sans témoins. Alors que des journalistes étaient témoins). Tesla aurait témoigné avoir su produire de la foudre en boule au sein de ses notes le 3 janvier 1900. (Et les photos d'époque alors ? Photoshop existait en 1900 ?) Malheureusement, d’après Carlson (voilà l'autorité à écouter !), il n’y a pas vraiment consensus, ne serait-ce que sur la possibilité physiquequ’il soit possible d’en produire (puisqu'on vous dit que ce n'est pas possible!). Point que Steven Novella semble (nions tant qu'on peut) aussi avancer lors de l’épisode de son podcast sur le culte (!) voué à Tesla dans les milieux new age (puisqu'on parle de lui dans ce milieu, alors Tesla devait dire n'importe quoi). Pour lui la transmission d’énergie sans fil était possible, vers n’importe quel point du globe, à une vitesse quasi instantanée et sans diminution notable de puissance… On est loin de ce que la science basée sur des faits et reproduite pourrait dire aujourd’hui... (Surtout quand on ne reproduit pas. Et le fait d'annoncer à l'avance vous disqualifie d'être scientifique. Dommage pour ce qu'il a annoncé et pu vérifié de son vivant ! Et puis il n'avait qu'à avoir plus d'argent !) L'auteur suppose que Tesla n'avait aucune idée des fréquences de résonance de la Terre, en se basant sur le fait que ces ondes furent observées en 1960 et que ce ne serait qu'à partir de là qu'on en parla. Alors que Tesla avait annoncé que la Terre résonnait à 6.18 et 30 Hz ! Ce qui est tout proche de la réalité. http://www.podcastscience.fm/dossiers/2016/08/05/la-vie-de-nikola-tesla-22/
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Influence de la sédimentation sur les projets de barrage: Les solutions pour désenvaser les barrages sont : vannes de fond, dérivations, bassins de retenue, dragages. Des études doivent être continuellement réalisées afin de savoir quelle combinaison de ces solutions il convient de mettre en oeuvre, et ce en fonction des conditions in situ de chaque barrage. Selon l'article, le problème de la sédimentation est moins sérieux que ce que les organisations anti-barrage clament, tout en restant suffisamment sérieux pour qu'on prenne le problème à bras le corps, surtout pour les futurs barrages qui seront localisés dans des endroits dans le monde où le transit sédimentaire est particulièrement important. A cela s'ajoute le problème de l'érosion des turbines, essentiellement due au quartz. Les coûts totaux (en $) liés à la construction, l'exploitation, et la maintenance sont bien inférieurs aux gains financiers obtenus sur la vente de l'électricité. A cela s'ajoute les bénéfices liés à l'irrigation. NB: les problèmes et solutions pour les barrages d'irrigation sont différents des barrages hydro-électriques. http://fr.hydrocoop.org/sedimentation-barrages/
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Vidanges des barrages EDF : quel impact sur l'environnent : Les vidanges de barrages remobilisent les sédiments et provoquent une augmentation des matières en suspension, ce qui diminue la teneur en O2 dissous et donc l'activité photosynthétique. Peuvent également être remises en suspension d'autres substances organiques ou chimiques qui vont induire une forte demande en O2. Il est question d'ammoniaque, très toxique, mais aussi de phosphore, responsable de l'eutrophisation (ce qui diminue encore la teneur en O2 dissous). De plus, la forte mortalité des poissons lors des vidanges peut induire une pollution bactériologique de l'eau. https://www.u-picardie.fr/beauchamp/duee/cathelin/cathelin.htm
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Eoliennes et infrasons : Afin d'isoler l'effet nocebo, Dr Paul Schomer et ses collègues ont comparé les observations en alternant les périodes marche/arrêt des éoliennes. Certains habitants pouvaient même sentir quand elles tournaient ou pas. Il a aussi été montré que la probabilité que la sensibilité au mal des transports et la sensibilité aux émissions acoustiques des éoliennes ne soit pas liées était inférieure à 2 pour un million. Mais aussi que les symptômes ne sont pas corrélés avec le bruit audible http://waubrafoundation.org.au/wp-content/uploads/2013/08/Schomer-et-al.WindTurbine-Noise-5th-Int.-Conference-Aug-2013.pdf